[Verse 1]
Les jours s’effilochent comme un fil trop usé,
Les rues se vident, tout semble figé.
Un dernier café sur la table oubliée,
Le goût amer d’un hier effacé.
[Chorus x2]
C’est la fin, mais sans un frisson,
Juste un murmure entre les maisons.
Les pages tournent, sans conviction,
Comme un refrain sans émotion.
[Verse 2]
Les heures s’empilent sans plus de raison,
Un train part sans destination.
J’écris ton nom sur un mur effacé,
Même la craie refuse d’exister.
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